Substitution nucléophile
Considérons le 1-chloroéthane. La forte électronégativité de l'atome de chlore induit la polarisation de la liaison \(\textrm C-\textrm{Cl}\) (effet \(-\textrm I\)). L'atome de carbone numéroté 1 qui possède un déficit en électron est alors un centre électrophile qui peut subir l'attaque d'un réactif nucléophile comme l'anion hydroxyle.
Dans ce cas, l'effet inductif favorise une réaction de substitution nucléophile.